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Ambiances en suspens, vagues de son, incursions électroniques et narrations mystérieuses dans un dosage savant de rock progressif, de pop et de jazz,…
Sur scène, une guitare ensorcelante, des claviers acides et envoutants, une basse incisive, un saxophone aux accents électroniques, et une batterie tellurique, se mêlent à des chants mystérieux et à une projection vidéo psychédélique, afin de conter l’histoire de Jim, un vagabond moderne qui part pour un voyage qui le conduira jusqu’aux confins du monde.
Immobile, coincé entre satisfaction et inquiétude, Jim décide de quitter sa vie et de partir marcher. Il se sent exactement ou il doit être dans le mouvement, le changement, le possible.
Chaque composition, chaque tableau vidéo est un jalon, une étape dans ce voyage à la destination incertaine.
Cette véritable invitation au voyage sert de canevas au travail de la vidéaste Ramona Poenaru. À base d’images abstraites et de photographies à dimension graphique, elle imagine un vocabulaire de projection vidéo manipulable au gré de la musique. A son travail vient s’ajouter celui de Sébastien Regall, designer 3D, qui a pour l’occasion modélisé des paysages imaginaires dans lesquels la vidéaste Ramona Poenaru vagabonde librement.